Jour 1 – L’Espagne vire en tête.

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Samedi 1erSeptembre, premier jour de course pour les 10 nations participantes avec des conditions estivales presque idéales dans la rade de Cherbourg.

Malgré une bonne première manche lancée à 10h, le vent aura joué des tours à nos concurrents tout au long de la journée devant même faire finir la 6eet dernière manche en début de soirée.

Il aura fallu de la patience à nos compétiteurs en attendant l’arrivée d’une brise thermique afin de relancer les courses dans l’après-midi. Une patience à maintenir sur l’eau et à terre puisque les concurrents naviguent en rotation car seuls 13 bateaux concourent en même temps. Les équipages restés au Village en profitent donc pour se reposer et se détendre en attendant parfois plusieurs heures !

A l’issue de cette entame de la compétition, une régularité sans faille voit les 3 premiers équipages du classement provisoire se tenir dans un mouchoir de poche. Au coude à coude les Espagnols de ESP2 et les Français de FRA2, les locaux du WUC puisqu’ils viennent de Normandie et de Cherbourg pour trois d’entre eux, suivis des Australiens de AUS2.

Côté Village, les étudiants bénévoles du Championnat du Monde ont organisé une place du Village où on retrouve durant tout le week-end de nombreux exposants : stands de douceurs ou de produits locaux à déguster, sensibilisation à la protection des océans mais aussi association de jeux normands.

Rendez-vous demain pour suivre de nouvelles belles courses sur ce plan d’eau incroyable qu’offre la rade de Cherbourg.

Ils ont dit :

« Cette journée a été difficile à cause de ce vent très instable et du très bon niveau de autres compétiteurs. Le championnat dure plusieurs jours c’est pour ça que notre objectif était de commencer fort la course au titre » Alberto Basadre Lopez, skipper de l’équipage ESP2, ESPAGNE. 1erau classement général provisoire.

« On s’est bien organisé et calé, ça nous a mis en confiance rapidement mais on ne doit pas se relâcher un instant car c’est une flotte tassée. Il ne faut rien rater car sinon on le paie cash ! Et avec ces changements de vent, l’attente à terre entre deux rotations nous a été favorable » Pierrick Letouzé, skipper de l’équipage FRA2, FRANCE. 2eau classement général provisoire.